Depuis 200 ans, le climat se réchauffe et le taux de gaz carbonique augmente. Son taux dans l’air est passé de 0,028% à 0,048% cela même dans les régions les plus reculées du globe... cela ne s'était pas produit depuis 3,5 millions d'années! A partir d’une certaine concentration dans l’air, ce gaz s’avère dangereux voire mortel. La valeur limite d’exposition est de 3 % sur une durée de 15 minutes. Cette valeur ne doit jamais être dépassée. Au-delà, les effets sur la santé sont d’autant plus graves que la teneur en CO2 augmente. Ainsi, à 2 % de CO2 dans l’air, l’amplitude respiratoire augmente. A 4 %, la fréquence respiratoire s’accélère. A 10 %, peuvent apparaître des troubles visuels, des tremblements et des sueurs. A 15 %, c’est la perte de connaissance brutale. À 25 %, un arrêt respiratoire entraîne le décès. On en est encore bien loin avec 0,05%, mais ce n'est pas là le problème. La courbe de la croissance de la proportion de CO2 dans l'air (et des autres gaz à effet de serre) suit de près celle de l'augmentation moyenne de la température, ce que certains ignares n'arrivent toujours pas à comprendre (ou contestent la responsabilité de l'humanité), ou ne veulent pas admettre. Nicolas Hulot a qualifié de cancer généralisé la maladie actuelle de l'humanité, alors que le monde politique et industriel ne la perçoit que comme une simple bronchite... avec un peu de fièvre...
Et la seule réponse apportée par le gouvernement à ce VRAI problème est de prélever des taxes, encore des taxes, toujours des taxes qui sont en grande partie détournées vers le budget général.
Une chose aussi intéressante à savoir : un seul porte container émet plus de souffre que l'ensemble du parc automobile français. Mais ça il ne faut pas le dire, sinon il faudrait s'attaquer aux intérêts des armateurs, et il ne faut surtout pas le faire !
BlaiseAdministrateurMessages : 4859 Date de naissance : 01/12/1953 Date d'inscription : 12/10/2011
Oui, les taxes, seule réponse possible lorsqu'on ne cherche pas à soigner les vraies origines du mal. C'est la solution de facilité pour le gouvernement qui n'a pas écouté les cris d'alarme de Nicolas Hulot, ni les conclusions des études scientifiques sur l'énergie, les ressources de notre planète et leur gaspillage.
C'était aussi le risque inconsidéré de fâcher contre l'écologie la majorité des citoyens qui paient déjà assez d'impôts et de taxes. Etait-ce le but de rendre toute proposition "d'inspiration écologique" responsable de la misère et de tous les maux de la société?
Il est urgent de placer l'écologie comme ressource de valeurs, qui font le bonheur national brut. Hélas, ce que recherchent les pouvoirs politiques et économiques n'est que le produit national brut. Dans cette optique, l'humanité n'a plus beaucoup de beaux jours devant elle.
Suite au changement climatique, j'ai dû fracasser la niche de Saskia, à la masse!
Elle aura été utilisée à peine 8 ans, depuis le jour où j'ai bien bossé pour la construire:
depuis avril 2011, Saskia y passait parfois la moitié de la journée:
mais voilà, pas de trace à l'entrée, ma petite louve préfère rester dans la neige mouillée:
en ces jours presque estivaux, Jiro prend souvent son bain de soleil:
(la niche ne lui manque pas!)
alors que Saskia dort dans sa corbeille, ou dans son petit coin de la salle de bain, à l'abri des ... beurk...
oui, des:
j'en ai trouvé jusque dans mon lit, elles sont inoffensives, pas comme celles des lits je n'en ai pas pour le moment, Dieu mais c'est quand même dégoûtant de devoir les écraser entre 3 épaisseurs de papier de ch..... car si on les "manipule" sans précautions, elles projettent sur les doigts un liquide de puanteur puissance dix et pour se débarrasser de cette odeur, c'est, ah punaise, galère!
comme elles cherchent à s'abriter au chaud pour passer l'hiver, elles entrent en automne et l'automne dernier, anormalement chaud et durable, leur a laissé tout le temps pour s'introduire dans les maisons, en particulier dans celle de ma Saskia... voilà le fin mot de l'histoire...
Les températures anormalement élevées de ce mois de février poussent ces insectes à quitter leur abri pour se reproduire dans la nature et on les retrouve surtout près des fenêtres, cherchant à retrouver la lumière du soleil. C'est bien beau cette collection de couchers de soleil, où, en 5 jours, on peut bien voir le déplacement horizontal du point de disparition de l'astre...
mais ce même astre va faire payer très cher à l'humanité sa croissance démesurée...
https://www.lci.fr/sciences/paris-les-punaises-diaboliques-envahissent-les-maisons-comment-s-en-debarrasser-2101885.html Les punaises étant moins vaillantes au frais le matin dans la niche que lorsqu'elles volent contre les vitres, j'ai pu les capturer facilement pour les noyer dans de l'eau bouillante, comme j'élimine les chenilles processionnaires; en cette période sèche, le moment était idéal pour détruire ces innombrables envahisseurs, deux ou trois cents en tout cas, avant leur période de reproduction!
Pauvre Saskia, qui déteste les insectes, mais ta niche était pourrie, elle avait vécu.
Je ne pense pas remettre une niche sur ma terrasse, même si ma première Huskie Nyk en avait une:
celle-là, presque indestructible, était trop humide et malsaine, envahie par les fourmis, Nyk ayant la même fâcheuse habitude que Saskia d'amener dans sa niche des morceaux de viande, les insectes n'avaient pas tardé à s'y installer durablement, et il y en avait des nids sous les dalles!
Avant que la chaleur n'arrive, nous brûlons tous les cocons qui se nichent dans nos arbres mais, hélas, la municipalité ne fait pas grand chose pour les arbres alentour et les chenilles processionnaires peuvent arriver dans notre jardin en venant effectivement d'on ne sait où !
C'est une vraie saloperie !
Cat.Aventurier Messages : 213 Date de naissance : 26/11/1964 Date d'inscription : 13/12/2010
J'en ai pas vu bcp encore ici mais il y a plusieurs années y'en avait partout , une véritable invasion !! Et je suis bien d'accord avec ce dérèglement climatique, même les plus petites bestioles sont désorientées et ce n'est que le début
BlaiseAdministrateurMessages : 4859 Date de naissance : 01/12/1953 Date d'inscription : 12/10/2011
Le dérèglement climatique s'accélère d'une manière inquiétante: chaque système dépressionnaire actif devient potentiellement problématique et des séries de catastrophes surviennent maintenant par séries.
Voici l'enchaînement de phénomènes extrêmes entre le 7 et le 11 décembre 2021. D'abord la tempête Barra:
les vents atteignent même 171 km/h localement:
le radar des précipitations montre également que des inondations se produisent:
l'"escargot" dépressionnaire s'est étiré de haut en bas le lendemain, montrant que des intempéries touchent également le sud-ouest de la France et les Alpes:
la carte suivante montre les zones touchées en France:
le l'air chaud et très humide est arrivé de l'Atlantique central, faisant remonter la limite de la neige vers 2300m sur les Pyrénées, puis, rencontrant de l'air plus froid et humide sur la barrière des Alpes, provoque des importantes chutes de neige, battant des records par endroits, avec pour corollaire un danger d'avalanche maximal... voilà une conséquence des fortes pluies:
curieuse coïncidence, l'annonce simultanée des graves intempéries aux Etats Unis? en tout cas, le front froid catastrophique balaie plusieurs états au même moment:
les impacts de foudres sont marqués sur la carte suivante, exactement le long de la ligne de front, montrant clairement que l'air chaud des Caraïbes est repoussé violemment par l'air continental très froid:
pendant que les images de ce désastre circulent dans le monde entier:
l'Europe centrale se remet doucement de ses intempéries, comme le montre cette image:
l'anticyclone des Açores s'est rapproché du continent, tenant à distance la dépression tempétueuse située au sud du Groenland, un magnifique oeil, qui pourrait amener des bonnes chutes de neige en Scandinavie, également un temps printanier au-dessus des incontournables stratus de nos plaines...
Un épisode anticyclonique de longue durée pourrait se mettre en place, c'est l'autre aspect du changement climatique, soit l'alternance de fortes intempéries et de grandes sècheresses, favorisant aussi les canicules continentales en été.